Nous avons plusieurs publics en tête et avons cherché à constituer un éventail de plus en plus large et diversifié de partenaires, de collaborateurs, d’organisations et de participants. Sans aucun doute, le symposium proposé, comme les précédents, cherche à impliquer les universitaires, les chercheurs, les étudiants et le secteur universitaire au niveau national et international dans les trois langues (ainsi que le coréen).

Deuxièmement, et nous pensons que cela rend l'événement plus innovant et engageant, nous nous efforçons d'inclure des organisations de la société civile (dont l'Association québécoise des organismes de coopération internationale) et des diffuseurs, notamment en ce qui concerne les enjeux de justice sociale, de solidarité et de changement social.

Troisièmement, nous nous efforçons de rassembler des acteurs internationaux, tels que le Centre d'éducation Asie-Pacifique pour la compréhension internationale, l'Association québécoise des organismes de coopération internationale, la Commission canadienne pour l'UNESCO, les chaires UNESCO et d'autres, ce qui améliore ce potentiel de changement au niveau local. ainsi qu'aux niveaux mondiaux sur des questions mondiales, telles que l'environnement, la migration, les inégalités sociales, les conflits et la guerre (et la paix), les médias et les communications, etc.

Quatrièmement, le projet vise à établir des liens avec des éducateurs, des étudiants et d'autres personnes intéressées par les questions centrales de notre symposium. Enfin, notre symposium cherche à impliquer le grand public et les médias traditionnels comme moyen de soulever et de présenter plus largement des dialogues et des questions critiques.